LE BEURRE D’ESCARGOTS.

Tout a commencé un matin du 13 juillet lorsque cette année mon épouse Natalie plantureuse femme de trente-huit ans m’a demandé de préparer le beurre pour les escargots avec ma fille Élodie jolie blonde de dix-neuf ans qui aime le préparer avec elle les autres années.
Je viens de perdre mon travail, ce qui me donne du temps et le premier juillet j’ai profité d’un jour de pluie pour trouver plus de deux cent de ces gallinacés.

Natalie est infirmière dans une clinique de notre ville et en ce mois de juillet part à six heures pour revenir à seize heures travaillant dans l’amplitude dès dix heures autorisées.
J’ai sorti du frigo les deux kilogrammes de beurre que je suis allé acheter hier à la ferme voisine où je les ais commandés, lorsque Élodie arrive en short et débardeur me dévoilant sa généreuse poitrine.
Élodie et moi avons été en conflit entre ces quinze et jusqu’à ces dix-huit ans où elle semblait vouloir régir les règles de notre famille à sa manière.

Une crise plus forte que les autres nous a permis d’aplanir les problèmes et depuis nous sommes les meilleurs amis du monde.
Pendant ses vacances se lever à neuf heures est un exploit pour elle, mais la chaleur caniculaire de ce mois de juillet nous oblige à commencer à cette heure avant que le beurre devienne de l’huile.
J’ai installé la motte sur la table extérieure sur la terrasse, car en cas d’incident le carrelage est facilement nettoyable.

• Bonjour Papounet, tu as déjà commencé.
• Non, j’ai juste sorti les ingrédients, la spécialiste, lorsque tu le prépares avec Natal.
• Persil, ail, sel poivre, il manque les deux échalotes.
• Je vais les chercher.

Je les épluche et je les apporte.
Après avoir tout broyé, nous commençons à tous malaxer ensemble.
Le beurre est à bonne température et nous en avons plein les mains.

Ils nous reste à le mettre en boudin dans de l’aluminium
Par jeu, je met un peu de beurre sur le bout de son nez.

• Tu veux jouer, on va être deux.

Élodie prend un peu de beurre dans le tas et me l’applique sur la figure.

• Tu crois que tu peux me faire cela à ton père sans risque pour tes fesses comme il y a quelques années.

• C’est sûr, la fessée que tu m’as donnée alors que j’avais été odieuse était méritée, mais ce que j’ai oublié de te dire ce jour-là, c’est le plaisir que j’ai eu lorsque je me suis caressé après être monté dans ma chambre, à ce jour, c’est la plus grande décharge d’adrénaline que mon corps a fait éclater en moi.
• Tu jouissais alors que j’étais presque en pleurs dans la salle de t’avoir battu moi qui avais toujours refusé d’arriver à de telles extrémités.

• Quand j’ai fini de jouir, je me suis demandé si j’avais envie d’être masochiste.
C’est pour que tu recommences que j’ai continué, mais comme rien ne venait, j’ai préféré que l’on devienne amis.
• Oui, mais pas question que j’accepte de me laisser mettre du beurre sur la figure.

Je reprends un peu de produit sur ma main et la plaque sur son débardeur.
Au passage, je prends conscience de la dureté des seins de ma petite devenue si grande.

À chaque étape, nous prenons du beurre et nous en étalons à chaque fois un peu plus et un peu partout.

• Tu vas respecter ton papa.

En disant ces mots, je la tartine de haut en bas.
Ce jeu finit par dériver.
Elle me passe la main sur le torse pour m’en mettre sur mes poils.
J’en fais de même dans ces cheveux.
Ses seins sous ma main sont maculés.

Je la prends par le cou et ma main en glissant entre dans son short.
Mon maillot de bain glisse vers le sol.
Elle sent prend à mon maillot, son débardeur saute, lui aussi.
À f***e, le sol est jonché de graisse.
En combattant, pour la suprématie dans ma propre maison, je la fais pivoter.
J’ai oublié qu’elle fait du judo et elle me contre me faisant chuter lourdement au sol.

Ma tête tape sur le carrelage et la nuit tombe sur moi.
C’est un voile qui passe devant mes yeux et lorsque je reprends conscience, Élodie s’est enfilée sur mon sexe qui dans le combat et tous les attouchements a atteint son point de tension maximum.

• Chéri, tu es le premier.
• Élodie, tu es folle, c’est interdit.
• Rien n’est interdit, depuis ta fessée, je rêve de ce que nous faisons et c’est pour cela que je me refuse à tous les garçons qui ont essayé de me baiser.

Je suis vilaine, il va falloir que tu me fesses.
En attendant, ta verge couverte de beurre coulisse en moi qui suis mouillé comme jamais et regarde comme tu me fais joui…

J’ai envie de me frapper, je suis en train de baiser ma fille et pire de la faire jouir.
Mais c’est tellement bon surtout lorsqu’elle s’allonge sur moi et que sa poitrine vient se frotter sur la mienne.

Le beurre, qui nous recouvre fait glisser nos peaux plus rapidement et je sens ses pointes se durcir sur mes tétons.
Elle sent qu’elle a pris la maîtrise de mon corps et que pour rien au monde c’est moi qui casserais le point de jonction entre nous.
Elle m’a dit être vierge au moment de revenir à moi et ou elle s’est empalée, je finis par en douter tellement, elle se projette avec f***e sur mon pieu.

Aux secours, que l’on m’aide à arrêter surtout que je sens son orgasme monté en simultanéité avec mes jets de sperme.
À son âge, sa mère l’a-t-elle emmené chez le médecin pour lui prescrire une contraception ?
Assez de faux-fuyant, j’éjacule et son corps se cabre au moment de l’orgasme qui la déchire.
Au moment de sombrer dans un nouveau trou noir, j’ai conscience que ma fille vient de devenir ma maîtresse.

Insatiable, elle est insatiable, lorsque je reviens auprès d’elle, je suis toujours allongé sur la terrasse maculée de beurre à croire que pendant mon absence, elle a retartiné nos corps.
C’est sûr, elle l’a fait, sa main en est imprégnée et ma queue qui bande toujours ou de nouveau en a des épaisseurs que notre coït précédent avant transformé en huile.
Elle en met sur ses lèvres avant de prendre mon vit dans sa bouche.

La façon dont elle me suce le gland le pompant et le relâchant avec un bruit de succion met de nouveau le doute en moi, c’est une pompeuse professionnelle digne de la plus belle des putes qui fait descendre sa bouche à la limite de mes couilles.
Comment ma petite fille peut-elle inventer une gorge profonde aussi impeccable ?
Une seule fois dans ma vie, j’ai vu une femme réaliser cet exploit sans que le corps fasse des hauts le cœur, c’était à Rio lorsque j’étais en escale et qu’une jeune fille de bonne famille m’avait emmené dans sa chambre pour faire l’amour à la française.

Jamais je ne pensais retrouver les sensations d’alors et que ce soit ma fille qui me les rappelle en me rajeunissant fait entrer un sentiment que j’ai connu les premières fois que Nat m’a donné son corps, je deviens amoureux de ma propre progéniture.
Surtout lorsqu’elle me fait me relever et passer derrière elle pour l’enfiler de nouveau en levrette.
Je suis à portée de main de la motte de beurre qui a diminué de moitié.

J’en prends une grosse poignée que je badigeonne sur la chatte bien poilue d’Élodie.
Lorsque je me place le terrain ai tellement glissant que ma verge dé**** et vient aiguillonner sa rosette.
La baiser, comment vais-je le supporter dans les jours prochains lorsque je me retrouverai face à ma femme mais l’enculer, il faut que je reste raisonnable.
Je me repositionne et je pénètre sa chatte qui est tellement glissante que je dois m’accrocher à ses hanches pour une nouvelle fois évitée d’être éjectée.

• Papounet, je suis contente que tu te remettes dans ma chatte, grace à ta queue, j’ai des orgasmes dévastateurs, sodomise-moi, tu auras le plaisir que maman te refuse.

Comment c’est elle que Nathalie me refuse le passage dans ses reins, avons-nous manqué de discrétions la dernière fois où j’ai tenté de lui faire.
Il est vrai que comme dans le dernier tango à Paris avec Brando et la jolie Maria Schneider, ce jour-là pas de beurre pour m’aider à coulisser en elle.

• Tu es mon étalon et je te dis de m’enculer, tu auras eu définitivement mes deux trous que je te représenterais toutes les vacances, faits de moi ta chienne qui mérite d’être punie par une bonne fessée.

Je suis devenu fou, à son injonction, j’empoigne ma bite qui jamais n’a été aussi dure et je plonge dans la rosette.
Pour me venger, je lui assène une claque phénoménale sur sa fesse gauche suivie d’une autre sur la fesse gauche.

Je perds tout sens de la réalité, pas gauche, mais fesse droite.

• Oui, c’est bon de t’avoir dans mon cul, je sens les petits muscles réagir autour de ta verge, continue de, me fesser une fois de plus je vais jouir par l’anus ce coup si.
Tape avec tes mains plus fortes, tu glisses avec le beurre et cela atténue mon plaisir.

Droite gauche, une volée de claques frappent ses jolis globes et même si cela glisse, son cul prend une jolie couleur rubiconde.

Je lui remplis l’anus avec des jets aussi puissants que pour notre première rencontre au fond de sa chatte.
Cette fois je suis calmé et en nous relevant je fais le geste qui nous restait pour sceller les amants devenus, elle me donne sa bouche et je lui prends sa bouche.

• Bouchon, allons-nous laver, car ma femme, excuse ta mère, ta maman va arriver et elle aura du mal à comprendre que tout ce que nous avons fait n’était qu’un malentendu.

Nous récupérons nos tongs qui nous permet d’éviter de mettre du beurre partout.
Lorsque nous sommes dans la salle de bains, je veux qu’elle se nettoie avant moi.
Elle me prends la main et me fait entré avec elle dans la cabine.
Soixante-dix sur soixante-dix centimètres, nous sommes collés l’un dans l’autre et sa bouche reste encore plus vorace que sur la terrasse.
Elle me prends la main et me place ses doigts dans sa chatte.

• Regarde, je mouille encore, je suis insatiable, tu as fait de moi une nympho, prends moi encore.

Ma queue est une nouvelle fois tendue et lorsque je la prends sous les cuisses et que je la soulève, son dos vient racler la clayette des robinets lui arrachant un léger cri qu’elle remplace vite par des râles de plaisir lorsque j’entre au fond de son trou qui est béant d’envie.

Trois fois de suite ma verge la fait jouir avec des cris qui risque que les voisins appelle la police car j’égorge la personne que je côtois.
Nous avons la chance que la maison que je rénove est ancienne et que les mûrs absorbe ses cris.
Trois fois, des années que mon corps a oublier un tel exploit….

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